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Le parcours d’un entrepreneur, c’est un peu la conquête du Jedi ! Parce que lorsqu’on se lance dans un projet entrepreneurial – j’en sais quelque chose puisque je suis moi-même entrepreneur – on travaille énormément et il faut apprendre à garder son niveau d’énergie, sa motivation, son cap, tout en évitant de s’éparpiller.
Je fais du coaching des organisations, c’est-à-dire que je marche aux côtés d’un(e) patron(ne) pour l’aider à mettre en place un projet pour son entreprise : structurer sa croissance, faire des acquisitions ou des successions et parfois même, parce que la vie n’est pas un long fleuve tranquille, sortir de crises.
J’échangeais récemment avec l’un de mes clients DRH qui me disait qu’il était là pour s’occuper du « hard » (rémunérations, contrats, …) et moi du « soft » (se sentir bien, entretenir de bonnes relations, éviter le stress…).
La deuxième composante sur laquelle je travaille est l’appétence : faire comprendre que lorsqu’on aime son job, on est plus productifs. Le troisième volet est la compétence, « ce que je sais faire ». Voilà le triangle autour duquel j’interviens auprès de l’entrepreneur, des dirigeants et des managers, en fonction des problématiques spécifiques. J’en examine toutes les dimensions : le sens, la cohésion d’équipe, l’énergie pour maintenir la motivation à son plus haut, et puis le cadre avec la partie un peu plus triviale de délégation et d’organisation des tâches dans une entreprise qui grandit.
En France, les entrepreneurs disposent de tous un tas d’outils pour leur faciliter la tâche. Nous avons par exemple des clubs d’affaires très en vue comme Le Galion Project crée par Jean-Baptiste Rudelle, co-fondateur de Criteo, qui regroupe près de quatre-cent start-up. Les financiers sont de plus en plus présents également et l’on voit de très beaux succès avec des entreprises françaises cédées à l’international à des valorisations spectaculaires.
Les entrepreneurs que je côtoie ont des rêves en technicolor. Leur difficulté dans un premier temps est justement de les faire comprendre autour deux, auprès de leurs équipes mais aussi de leurs investisseurs, leurs actionnaires, ou leurs banquiers. Une fois qu’ils y sont parvenu, je les aide à structurer un cadre et une organisation pour porter ce rêve et le mener à bien en s’alignant, tête, cœur et corps.